
REPAS DES SENIORS
27/10/2025
PASSAGE A 30KM/H : bientôt des contrôles préventifs de vitesse!
30/10/2025
A l’horizon de son 80ème anniversaire, Gwenaël Le Bars, président du groupe a retracé l »histoire du costume lors de la présentation du nouveau costume :
– Dès la création des GLAZIKED, cercle de danse, en 1946, par l’abbé Joly, vicaire à Pouldergat, le costume porté par les danseurs était brodé. A la création du Bagad par l’abbé Guénégan en 1952, les musiciens portaient le même costume que les danseurs. Dans les années 1970, quelques costumes sans broderies, bleu et noir, firent leurs apparitions.
– Au renouveau du Bagad, dans les années 1980 – 1984 plus particulièrement, lors des premières sorties, les musiciens portaient les costumes des membres de leurs familles ou ceux prêtés par des Pouldergatois. Un souci : les costumes étaient tous différents et pas très commodes pour la pratique de la musique
– C’est dans les années qui suivent que les membres du Bagad, sous la houlette de Jean-Michel Castrec, président à l’époque, décident de faire un nouveau costume avec un souhait : conserver les broderies de l’ancien costume tout en étant plus moderne et sans manches. Ce qui le rendait plus pratique pour jouer de la musique. Ces 25 costumes furent taillés par les élèves couturières de St Elizabeth de Douarnenez et es broderies réalisées par Anna Espernn de Quimper qui fut relayée par le brodeur en devenir, Pascal Jaouen, et ses élèves. « Le plus beau costume de tout l’ouest armoricain était né ».
– Devant l’augmentation progressive des effectifs, les problèmes ont commencé à réapparaître.;Pour solutionner ce problème, nous avons essayé de trouver des brodeuses locales pour réaliser quelques costumes supplémentaires : Michelle Le Bars et Anne-Marie Le Coz notamment, complétées par une équipe de brodeuses sous la houlette de Florence Le Bars mais les costumes faisaient toujours défaut.
– :Nous nous mettons en recherche d’une autre solution et nous sommes mis en relation avec Armor Lux et, notamment, Jean Guy Le Floc’h par l’intermédiaire de Henri Pichavant, fervent admirateur du Bagad.
– La première rencontre se fait très rapidement. Le projet qui n’est pas une mince affaire est sur les rails : faire un patron, trouver un tissu bleu qui nous caractérise, ,les broderies, les boutons, les poches, les tailles, les quantités les contraintes de fabrications….
– Aidée de Geneviève Capitaine et sous ses bons conseils, naît un prototype en fonction de ces contraintes techniques et nos attentes multiples.
– -Nous proposons quelques modifications comme l’agrandissement de l’ouverture des épaules, le sens de quelques broderies, le choix de nouveaux boutons.
– Viennent, ensuite, les séances épiques de mesures que Fanny nous fera passer avec son mètre ruban
– .Dès lors, la fabrication de ce nouveau costume peut commencer en série après ’un travail de recherche de plus de 20 ans sans oublier les préparations de fêtes, de réunions tardives, d’amitié, de confiance et d’argent épargnés. Ce faisant, les Glaziked poursuivent la conservation du patrimoine et la transmission de la culture bretonne aux futures générations et, ce, toujours dans cet état d’esprit parfait.
– Dès la création des GLAZIKED, cercle de danse, en 1946, par l’abbé Joly, vicaire à Pouldergat, le costume porté par les danseurs était brodé. A la création du Bagad par l’abbé Guénégan en 1952, les musiciens portaient le même costume que les danseurs. Dans les années 1970, quelques costumes sans broderies, bleu et noir, firent leurs apparitions.
– Au renouveau du Bagad, dans les années 1980 – 1984 plus particulièrement, lors des premières sorties, les musiciens portaient les costumes des membres de leurs familles ou ceux prêtés par des Pouldergatois. Un souci : les costumes étaient tous différents et pas très commodes pour la pratique de la musique
– C’est dans les années qui suivent que les membres du Bagad, sous la houlette de Jean-Michel Castrec, président à l’époque, décident de faire un nouveau costume avec un souhait : conserver les broderies de l’ancien costume tout en étant plus moderne et sans manches. Ce qui le rendait plus pratique pour jouer de la musique. Ces 25 costumes furent taillés par les élèves couturières de St Elizabeth de Douarnenez et es broderies réalisées par Anna Espernn de Quimper qui fut relayée par le brodeur en devenir, Pascal Jaouen, et ses élèves. « Le plus beau costume de tout l’ouest armoricain était né ».
– Devant l’augmentation progressive des effectifs, les problèmes ont commencé à réapparaître.;Pour solutionner ce problème, nous avons essayé de trouver des brodeuses locales pour réaliser quelques costumes supplémentaires : Michelle Le Bars et Anne-Marie Le Coz notamment, complétées par une équipe de brodeuses sous la houlette de Florence Le Bars mais les costumes faisaient toujours défaut.
– :Nous nous mettons en recherche d’une autre solution et nous sommes mis en relation avec Armor Lux et, notamment, Jean Guy Le Floc’h par l’intermédiaire de Henri Pichavant, fervent admirateur du Bagad.
– La première rencontre se fait très rapidement. Le projet qui n’est pas une mince affaire est sur les rails : faire un patron, trouver un tissu bleu qui nous caractérise, ,les broderies, les boutons, les poches, les tailles, les quantités les contraintes de fabrications….
– Aidée de Geneviève Capitaine et sous ses bons conseils, naît un prototype en fonction de ces contraintes techniques et nos attentes multiples.
– -Nous proposons quelques modifications comme l’agrandissement de l’ouverture des épaules, le sens de quelques broderies, le choix de nouveaux boutons.
– Viennent, ensuite, les séances épiques de mesures que Fanny nous fera passer avec son mètre ruban
– .Dès lors, la fabrication de ce nouveau costume peut commencer en série après ’un travail de recherche de plus de 20 ans sans oublier les préparations de fêtes, de réunions tardives, d’amitié, de confiance et d’argent épargnés. Ce faisant, les Glaziked poursuivent la conservation du patrimoine et la transmission de la culture bretonne aux futures générations et, ce, toujours dans cet état d’esprit parfait.



